dimanche 7 mai 2017

Le Namib, ranch Koiimasis

Il y a vraiment beaucoup de vent, mais ça ne nous a pas gêné pour dormir (il en faut plus...)
Départ vers 7h15, après le petit-déj et le check-out (pas souriant).
On reprend une partie de la piste empruntée à l'aller avant de bifurquer à gauche. Un beau tronçon avec quelques courbes, sympa. Martine est préposée à l'ouverture des barrières...





Puis on rejoint la route goudronnée pour un peu plus de 100km jusqu'à Aus, où nous faisons le plein.
On baisse un peu la pression des pneus avant d'attaquer la piste vers le nord, puis la très belle D707 pour entrer dans le Namib, le plus vieux désert du monde. Magnifique...








Arrêt pique-nique à l'entrée de la piste du ranch Koiimasis (géo-cache).
Il reste 20 km d'une piste sablonneuse dans un très beau décor.






Accueil tout à fait correct à la réception du camping (on achète du filet d'Oryx) puis on gagne notre emplacement, un peu plus loin, dans un super cadre.




Mahali à sourcils blancs / White-browed Sparrow-Weaver

 Après un petit repos, on part pour une petite rando dans les rochers au-dessus du lodge (après avoir demandé l'itinéraire à la réception).
Très chouette, un peu sportif dans la descente.
    Mountain view : 1h30, départ cairn sur rocher au-dessus de la piscine puis suivre les marques blanches.











Au coucher du soleil, on observe les très nombreux damans, dont des très jeunes.




Au dîner : brai avec les filets d'Oryx.


358 km dont 116 de goudron


Le désert du Namib est un désert côtier chaud qui occupe une superficie d’environ 80 900 km². Il s’étend sur plus de 1 500 km le long d’une bande côtière nord-sud large de 80 à 160 km qui longe l’océan Atlantique. Il est considéré comme le plus vieux désert du monde, car soumis à des conditions arides ou semi-arides depuis au moins 80 millions d'années.
Les conditions désertiques qui y règnent sont la conséquence du courant marin froid de Benguela d'origine antarctique, qui refroidit les masses d'air océanique au large des côtes de Namibie. Lorsque ces masses d'air parviennent au-dessus des terres continentales plus chaudes, elles se réchauffent et se dilatent, ce qui les empêche de libérer l'humidité qu'elles contiennent sous forme de pluie.
Le Benguela est aussi responsable de brouillards fréquents qui apportent un peu d’humidité dans le désert, jusqu’à 50 km de la côte, indispensable au développement de la vie dans ces zones arides.
Le désert est traversé par plusieurs lits de cours d'eau éphémères qui sont pratiquement toujours à sec. Dans la partie au sud du fleuve Kuiseb se trouve une immense zone de dunes mobiles qui s’étend sur 300 km vers le sud. Certaines de ces dunes – telles celles de Sossusvlei – atteignent 300 m de haut et figurent parmi les plus hautes dunes du monde. Leur couleur rouge est due à l'oxyde de fer.
Il existe de larges gisements alluvionnaires de diamants dans une zone interdite réservée à l’exploitation minière au sud de Lüderitz. D’autres ressources minérales sont également exploitées, essentiellement le tungstène et l'uranium.
La côte namibienne porte le nom de côte des squelettes, évocateur du sort des infortunés naufragés, à la suite de la combinaison d’un fort courant marin, de brouillards fréquents et d’une côte désertique inhospitalière. La côte est parsemée d’os de baleines et d’épaves de navires échoués et partiellement recouverts par le sable.



2 commentaires:

  1. j'suis encore étonné de voir des autruches par là...sinon, d'un "point de vue"(c) température ça donne quoi ?

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    1. On arrive sur l'hiver (hémisphère sud) : les nuits sont fraîches (10-12°, voir moins), les journées chaudes (26-30°, voire plus).

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