On a décidé de passer quelques jours dans ce coin pour être plus proche du volcan et des nombreuses randos possibles dans le secteur, en se disant que, peut-être, une éclaircie nous permettrait de monter à la Soufrière. Pour l'instant, c'est pas gagné, en tous cas, pas aujourd'hui...
Démarrage en douceur donc. Heureusement, le bungalow est sympa et dispose d'une grande terrasse, bien abritée de la pluie (eh oui, il pleut, mais il fait chaud quand même).
On va faire un petit tour à la Marina et on profite pour compléter notre ravitaillement.
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| Le bungalow |
Repas de midi au bungalow donc, avec en entrée un avocat du jardin aimablement déposé par notre hébergeur. Et en plus, on a compagnie de merveilleux colibris.
Spéciale dédicace à Pierre Rhabi, bien sûr, et à toi, Cawito, qui nous a fait découvrir l'homme et son mouvement.
Un jour, dit une légende Amérindienne, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : "Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! "
Et le colibri lui répondit : "Je le sais, mais je fais ma part."
https://www.colibris-lemouvement.org/mouvement/nos-valeurs
L'après-midi laisse percer un peu plus franchement le soleil.
On va faire un tour au phare de Vieux-Fort, à quelques km : un bien joli site, avec des rochers qui te plairaient beaucoup Evelyne : de bien belles laves descendues directement du volcan.
On gagne ensuite la ville de Basse-Terre, qui est située tout près de notre hébergement.
Une précision : Basse-Terre désigne aussi bien la partie de la Guadeloupe où nous nous trouvons (l'île la plus montagneuse, où se trouve le volcan) que la ville du même nom.
C'était autrefois la capitale économique et administrative de la Guadeloupe avant le développement de Pointe-à-Pitre dans les années60. En 1976, le réveil de La Soufrière provoqua l'exode de 80000 personnes, dont beaucoup ne sont jamais revenues et se sont fixés sur Grande-Terre.
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| Agréable promenade en front de mer |
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| Une maison à la déco... curieuse |
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| Le "palais" (sic) du département |
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| La rivière qui sépare les deux quartiers principaux |
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| L'évêché |
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| La façade de la Cathédrale, en pierres de taille volcaniques |
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| L'Hôtel de Ville |
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| Palmiers et Père-Noël... |
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| Monument "Sé la vi-la ki pli bèl" |
Quel bonheur de vous retrouver ! avec un magnifique tour de la Désirade et de belles rencontres sur cette île, restée authentique apparemment. Un seul regret : pas de photo de "basketteur" en train de mettre un panier !
RépondreSupprimerJe ne sais qui vous déniche ces hébergements, tous plus sympas les uns que les autres ... les petits Snoopy ont l'air heureux en tous cas ! et sans aucun doute les "grands" aussi !
Ah ces roches volcaniques, quelle merveille géologique ! (pour moi en tout cas)
RépondreSupprimerCe doit être agréable de passer un moment en compagnie
de colibris qui virevoltent...
Sinon Basse-Terre est pittoresque avec des architectures
diverses et curieuses à l'instar de cette drôle de maison.
merci pour la dedicace à Pierre Rabhi et à son mouvement Colibris..une embellie dans un monde de brute !
RépondreSupprimersinon, elle est incroyable cette maison au décor improbable. Et votre bungalow 'est plutot carrément un chalet !!! vous avez le don pour trouver les bonnes adresses !