Journée tranquille en cette fin de séjour.
Finalement nous n'allons pas à Comino, la petite île très peu habitée à quelques encablures de Gozo :
il y a quelques traces de fatigue, et puis on a vu le lagon bleu depuis Gozo et comme il est un peu tôt en saison pour s'y baigner (du moins pour nous)...
Pendant que Pierre se repose, nous allons avec Colette au village artisanal de Gharb, où on trouve de vrais artisans que l'on peut voir pour certains au travail dans leur atelier.
Mention spéciale pour un ferronnier d'art dont le travail est remarquable.
Au retour, passage par les falaises de Ta' Sarraflu, qui offrent de belles vues sur Xlendi où nous étions hier, et où se trouve la seule mare naturelle de l'île, avec quelques canards.
Après le déjeuner dans notre logement, j'opte pour une rando solitaire cet après-midi.
Passage par la grotte de la Calypso (la Nymphe ne m'a pas gardé pour 7 ans, ouf), puis descente vers la plage de Ramla (pour ceux qui suivent on y était hier). J'emprunte alors un beau sentier côtier. Enfin beau au début car j'arrive ensuite dans des zones de chasse (nombreux affûts) et je m'en sors par une bonne séance hors sentier dans les chardons... Arrivé à une crique déserte et isolée, je retrouve un balisage rouge pour la suite de la rando, qui me mène à Marsalforn. Il ne reste plus qu'à remonter sur Xaghra.
Demain, c'est le retour : voiture-ferry-voiture-avion-voiture !
La découverte de ces deux îles Maltaises fut très agréable et variée : des sites très intéressants sur le plan historique et préhistorique et, heureusement, quelques paysages naturels préservés et de toute beauté.
Mais ne vous y trompez pas, pas de grands sites sauvages ici, on n'est jamais loin de constructions humaines, surtout sur l'île principale de Malte.
Gozo a beaucoup de charme, un peu moins de densité humaine avec des villages plus séparés et beaucoup plus de cultures. Et on trouve aussi sur Gozo des zones naturelles, non construites, plus importantes, en particulier sur le littoral, permettant de très belles balades.
Pas ou peu de faune sauvage non plus, mis à part des lézards, mais au printemps il y a pas mal de fleurs, en particulier des lauriers roses, passiflores, cactus (pour protéger les champs du vent), chardons, etc...
L'architecture est sympa aussi, avec l'omniprésence de la globigérine, ce calcaire aux couleurs chaudes, utilisé massivement. Beaucoup de maisons rénovées, avec ces fenêtre-loggias si caractéristiques et pas mal de travaux d'embellissement des sites également.
On retiendra également les étroites routes bordées de murets de pierre et l'omniprésence des églises, souvent imposantes, et de leurs richesses.
En dehors des "incontournables" sites très touristiques (à visiter tôt le matin ou à midi), on trouve encore, en cherchant un peu, de beaux endroits à l'écart de la foule et qui valent le détour...
Oui, ce "caillou" posé au milieu de la méditerranée a bien du charme...
A bientôt pour de nouvelles aventure, et un grand merci pour les commentaires !
Finalement nous n'allons pas à Comino, la petite île très peu habitée à quelques encablures de Gozo :
il y a quelques traces de fatigue, et puis on a vu le lagon bleu depuis Gozo et comme il est un peu tôt en saison pour s'y baigner (du moins pour nous)...
Pendant que Pierre se repose, nous allons avec Colette au village artisanal de Gharb, où on trouve de vrais artisans que l'on peut voir pour certains au travail dans leur atelier.
Mention spéciale pour un ferronnier d'art dont le travail est remarquable.
Au retour, passage par les falaises de Ta' Sarraflu, qui offrent de belles vues sur Xlendi où nous étions hier, et où se trouve la seule mare naturelle de l'île, avec quelques canards.
Après le déjeuner dans notre logement, j'opte pour une rando solitaire cet après-midi.
Passage par la grotte de la Calypso (la Nymphe ne m'a pas gardé pour 7 ans, ouf), puis descente vers la plage de Ramla (pour ceux qui suivent on y était hier). J'emprunte alors un beau sentier côtier. Enfin beau au début car j'arrive ensuite dans des zones de chasse (nombreux affûts) et je m'en sors par une bonne séance hors sentier dans les chardons... Arrivé à une crique déserte et isolée, je retrouve un balisage rouge pour la suite de la rando, qui me mène à Marsalforn. Il ne reste plus qu'à remonter sur Xaghra.
Demain, c'est le retour : voiture-ferry-voiture-avion-voiture !
La découverte de ces deux îles Maltaises fut très agréable et variée : des sites très intéressants sur le plan historique et préhistorique et, heureusement, quelques paysages naturels préservés et de toute beauté.
Mais ne vous y trompez pas, pas de grands sites sauvages ici, on n'est jamais loin de constructions humaines, surtout sur l'île principale de Malte.
Gozo a beaucoup de charme, un peu moins de densité humaine avec des villages plus séparés et beaucoup plus de cultures. Et on trouve aussi sur Gozo des zones naturelles, non construites, plus importantes, en particulier sur le littoral, permettant de très belles balades.
Pas ou peu de faune sauvage non plus, mis à part des lézards, mais au printemps il y a pas mal de fleurs, en particulier des lauriers roses, passiflores, cactus (pour protéger les champs du vent), chardons, etc...
L'architecture est sympa aussi, avec l'omniprésence de la globigérine, ce calcaire aux couleurs chaudes, utilisé massivement. Beaucoup de maisons rénovées, avec ces fenêtre-loggias si caractéristiques et pas mal de travaux d'embellissement des sites également.
On retiendra également les étroites routes bordées de murets de pierre et l'omniprésence des églises, souvent imposantes, et de leurs richesses.
En dehors des "incontournables" sites très touristiques (à visiter tôt le matin ou à midi), on trouve encore, en cherchant un peu, de beaux endroits à l'écart de la foule et qui valent le détour...
Oui, ce "caillou" posé au milieu de la méditerranée a bien du charme...
A bientôt pour de nouvelles aventure, et un grand merci pour les commentaires !