Saint-Jean-Du-Gard

La matinée est consacrée à la visite de St-Jean du Gard, sur le même principe qu'hier : une énigme à résoudre au fil des sites à observer.
La ville a compté jusqu'à 39 ateliers à l'âge d'or du tissage de la soie; c'est impressionnant.
Une halte devant la gare nous permet de voir l'arrivée d'une locomotive à vapeur : un train touristique a été restauré et assure la liaison avec Anduze.
On franchit ensuite un superbe vieux pont; la hauteur des arches et des digues qui protègent les villes laissent deviner la hauteur des crues lors des redoutables "épisodes cévenols" à l'automne.

On part ensuite vers Florac en empruntant la corniche des Cévennes, une ancienne voie créée par le roi lors de la guerre des Camisards pour mieux surveiller les villages. La vue porte effectivement très loin, même si le ciel s'est couvert maintenant, et la route est spectaculaire.
Le vent de la partie mais Martine nous trouve une table de pique-nique bien abritée.

Arrêt ravitaillement à Florac avant de monter sur le causse Méjean.
On y retrouve Cawito à La Bourgarie, où il a loué un gite.
Le temps est froid, du vent, des nuages, bref un temps typique de novembre...
On tente une sortie avant le dîner, assez rapidement écourtée, l'éclaircie ayant été vraiment brève.
Après-manger, on ferme les volets : tiens il y a quelques flocons de neige qui voltigent...